Joy Fairy.
Elève
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Age : 32
Localisation : L'invasion bretonne à déjà commencer xD.
Date d'inscription : 03/06/2009
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![A trop rêver on ne sait plus qui on est. Joy ou Doll après tout qu'est ce que ça change ? [Fini] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | | Sujet: A trop rêver on ne sait plus qui on est. Joy ou Doll après tout qu'est ce que ça change ? [Fini] Mer 3 Juin - 0:27 | |
| FICHE DE PRESENTATION SPECIALE WFinspiré du RPG On The RoadFICHE POUR ELEVEDJcode règlement? You will never be alone again. # Rapport de Police #![A trop rêver on ne sait plus qui on est. Joy ou Doll après tout qu'est ce que ça change ? [Fini] 50d22610](https://i.servimg.com/u/f88/10/08/84/72/50d22610.jpg) | Nom, Prénom : Fairy, Joy d'état civil, Doll parfois, vous comprendrez.
Age : 17 ans.
Nationalité : Anglaise.
Crime Commis : Violences aggravées et tentative de meurtre.
(I don’t know.) |
# Entretien avec un psychologue du Help Institute #Vous venez d'apprendre que vous évitez la prison et qu'on vous envoie dans un centre pour jeunes délinquants. Avant d'entrer dans le Help Institute vous devez passer un entretien avec un psychologue. C'est donc sous la forme d'un entretien que vous allez présenter l'histoire, la famille et le caractère de votre personnage. Joy se tenait devant la porte d’un foutu psychologue, le genre d’homme qu’il ne supportait pas parce que ces derniers croyaient toujours tout savoir. Mais c’est bien beau d’avoir lut des choses, d’avoir écouté les rapports des confrères, on ne sait réellement les choses qu’une foi qu’on est confronté aux problèmes. Joy faisait partie de cette catégorie de la population, les problèmes, les asociaux aussi. Parce qu’il avait cette petite voix au fond de lui qui lui parlait quand ça allait mal, qui dirigeait son corps quand il voulait fuir, Doll, c’était lui et son contraire. Il frappa à la porte à l’heure précise, il n’allait pas non plus venir en avance et tant pis pour l’autre s’il était en retard, lui était là et entra. Il adressa un simple signe de tête à l’homme assit dans un fauteuil, il préférait épargner ses mots et sa salive.
« Allongez-vous, je vous en prie. Alors... Comment allez-vous? »
Joy eu un petit rire nerveux alors qu’il s’asseyait à même le sol, pas question pour lui de s’allonger sur un quelconque divan. Comment il allait ? Bonne question, et il n’y avait ni réponse positive ni réponse négative.
- Parfaitement bien voyez-vous. On m’annonce que j’évite la prison, comment ne pas être heureux ?
Répondre à une question par une autre question, sa spécialité en quelque sorte, étrangement pour une fois il avait envie de mettre se stupide médecin inutile, d’ailleurs où est la médecine là dedans, mal à l’aise quoi de mieux que lui raconter sa trépidante histoire. Se fut Doll qui répondit, parce que lui au moins n’avait pas envie de vomir en racontant des choses pareilles.
-Mais je dois dire que je pourrais aller encore mieux, j’ai déjà été beaucoup mieux. Vous savez, baigner dans une mare de sang, entendre les gémissements de douleur cette pauvre garce et frapper encore et encore c’est beaucoup plus plaisant, du moins pour moi. Vous savez, je n’ai pas fait ça par plaisir au début, je me suis simplement défendu, Joy était en état de faiblesse alors j’ai frappé, fort peut-être un peu trop d'ailleurs, sa tête à giclé contre le mur et le sang à commencer à couler.
Doll eu un grand sourire à cet instant, il se souvenait encore de l’odeur de sang chaud qui coulait, elle n’avait pas la tête solide, il y avait se plaisir malsain de détruire quelque chose, quelqu’un en l’occurrence. Lui aimait cette ambiance, le rouge sur le carrelage blanc, quel magnifique contraste, dommage qu’à l’intérieur de lui Joy se sente si mal. Son plaisir aurait été si fort sinon. Mais ils devaient faire face ensemble…
Joy se mettait souvent en retrait, il avait peur de beaucoup de chose, la faute en revenait à sa mère…
-Je vais vous dire un truc, on se serait plus occuper de lui plus jeune, il aurait peut-être pas viré ainsi, mais vous savez avec une mère qui vous frappe des qu’elle le peut qui hurle du matin au soir que vous êtes un bon à rien, qui vous accuse d’avoir fait fuir votre père… Vous finissez forcément mal. Il a grandit comme ça, dans la violence, l’adolescence n’est pas tendre avec vous. Parce que le corps ça change, et puis on contrôle pas, on n’est pas normal quand on regarde les garçons au lieux des filles. Forcément, on se fait frapper, encore et encore. Il faut bien une carapace pour tenir le coup. Et ça c’est moi.
Il eu a nouveau un petit sourire, attendrit se qui jurait horriblement avec la lueur de joie malsaine qui brillait au fond de ses yeux, il s’amusait follement. Dommage ce pendant que le visage du psychologue ne soit pas plus expressif.
« Ca remonte à votre enfance ? »
Il faillit rire de la question, tellement clicher, l’écoutait-il au moins quand il parlait ?
-Oui, sans doute, je ne sais pas trop. La violence ça ait partie de notre quotidien. Depuis qu’on est petits je pense oui. Sa mère n’est pas un modèle, trop imbue d’elle-même pour s’occuper d’un enfant, bien contente de pouvoir le laisser se démerder seul. On fini vite par être débrouillard à rester toujours seul depuis ses 5 ans. Mais si votre question veut parler du fait d’avoir des idées comme ça de subit massacre, c’est non. Quel enfant pourrait penser à de telles choses ? Moi, c’est vrais mais on ne les met pas en application. Maintenant comme pour tout le monde je pense que l’enfance joue un rôle dans l’évolution, dans se que nous devenons, c’est sûr ça fait peur. Parce que notre enfance à nous elle n’existe pas, on a grandit un peu vite et après on n’a pas voulut faire comme vous tous. Du coup on est devenu pire.
Il soupira fatigué, les questions étaient inutiles et lassantes. Doll laissa les rênes à Joy. Se dernier regarda le pseudo médecin avec peu de considération.
-Hum, se qu’il veut dire, c’est qu’on a grandit dans un quartier pourrit alors forcément. Il avait beaucoup de problème de drogue et plus rarement des meurtres. Mais le sang humain ça tache, alors quand j’allais à l’école je pouvais pas passer à côté de ça… Ca ne m’a pas empêché d’avoir une scolarité normale en temps que soufre douleur mais qu’importe. Doll a toujours été là pour moi. Alors quand ça tournait mal il frappait pour moi.
« Et d'après vous, pourquoi êtes-vous ici ? »
-Pour violences aggravées et tentative de meurtre, c’est maqué sur votre dossier. Je suis le cas numéro… Je ne sais plus qu’importe, celui que votre collègue appelle le gamin qu’à tuer sa mère. C’est stupide comme surnom. # Bagarre dans le Help Institute #
Vous venez tout juste de faire vos tout premiers pas dans HI, et vous êtes déjà confronté à une bagarre entre deux élèves. Comment réagissez-vous ? Vous y prenez part, vous les stopper, vous passez votre chemin ? Joy venait de poser ses valises dans un coin du bâtiment, une chambre sans doute, il ne savait pas vraiment et à vrai dire s’en fichait énormément. Il n’aimait pas particulièrement être là, même si à l’intérieur de lui Doll jubilait. Il était vraiment différent, autant Joy préférait la solitude et le calme Doll aimait le monde et l’animation… La violence que fuyait Joy aussi. Il tourna au détour d’un couloir pour tomber sur une scène plutôt banale… Un dispute, bien qu’un peu plus violente que la norme mais en venant ici, il ne s’attendait pas à grand chose de mieux.
« VAS TE FAIRE F***** ! Je ne veux pas de tes excuses, je veux ta PEAU ! »
Si Doll avait eu le contrôle de ce corps partagé à cet instant aucun doute qu’il s’en serait mêlé, pour rendre les choses un peu plus drôle. Seulement voilà, c’était Joy qui dirigeait pour le moment et lui préférait rester bien loin des violences, il était plus du genre qui se fait frapper qu’autre chose. Il était faible, il le savait, c’est bien pour ça que Doll avait fait son apparition. Si Doll se servait de ses pieds et de ses poings, Joy savait tout de même se défendre, il s’avérait assez blessant par la parole et dans la plus part des cas savait toucher là où ça faisait mal. Mais à côté de ça il n’avait pas beaucoup de courage, donc la balance était rapidement faite. Il était de ceux qui fuyaient les autres et qui restaient en retrait à écouter de la musique sur un mp3 miteux. Sa vie avec sa mère l’avait marqué beaucoup plus qu’il ne pourrait jamais l’admettre. Il était devenu craintif et n’arrivait plus à faire confiance.
Doll de son côté était complètement différent, lui aimait faire la fête, trainer dans des coins pas forcément fréquentable. Il n’aimait pas réellement la violence, mais plus la satisfaction de voir les autres souffrir. De manière générale il n’aimait pas les gens, même s’il y avait des exceptions, par exemple les gens comme Joy, il avait plus envie de protéger qu’autre chose. C’était assez paradoxal en soit et même s’ils étaient très différents Joy et Doll s’appréciaient. Etrange de dire ça en parlant de sa double personnalité. Quand Joy releva la tête pour continuer son chemin, un des deux crétins qui étaient là l’interpella.
« Hey TOI ! Qu'est-ce tu fous ici ? Mêle-toi de tes affaires ! »
-Mais c’est bien se que je fais...
Joy eu un petit sourire amusé, les gens on la bizarre idée que dans on passe près d’eux, on s’y intéresse forcement, bien au contraire. L’autre parlait mal, ce n’est pas parce qu’on est un peu sur les nerf qu’il faut parler comme ça aux gens voyons. Il se foutait bien de savoir se qui allait arriver au deux autres, ils n’avaient qu’à pas trainer là s’ils voulaient régler ça entre eux…
L’un des deux le pris au col, pour lui faire ravaler son Sale sourire de p’tit con. La conséquence en fut un petit rictus méprisant made in Doll, avant que se dernier lui mette tout bêtement un coup très mal placer. Puis il continua son chemin. # Auscultation du Docteur Meeters #
Sept heures du matin. C'est le moment qu'on a choisi pour vous convier à une visite médicale. Vous vous retrouvez le ventre vide dans le cabinet du Docteur Meeters, qui vous tourne le dos froidement. Il ne vous inspire pas confiance, mais vous devez tout de même vous soumettre à ces examens de routine, n'est-ce pas? Joy frissonna doucement en apprenant pour la visite médicale. Déjà qu’on venait le sortir du lit et que quand il n’avait pas son cotât de douze heures de sommeil il était irritable, une mauvaise nouvelle si tôt, franchement… Il avait un corps assez chétif, résultat de plusieurs années à se nourrir des fonds de placard et de vielles cicatrises trainaient déci delà… Il ne mangeait pas le matin donc pour ça l’heure n’était pas un problème en ce sens, seulement il n’avait pas eu le temps de se coiffer un minimum et pire de bien ouvrir les yeux. Il avait un peu une tête de shooté, mal réveillé et dans le pâté.
Il arriva devant l’espèce d’infirmerie, blanche pour ne pas changer, ils n’avaient aucun gout quand ils créaient ces foutues pièces médicales. Mais il y avait une chose qu’il détestait encore plus que les infirmeries en elles-mêmes, les médecins ou infirmiers. Tout au long de sa vie chez sa mère les doc’s avaient cru les explications foireuse de je suis tomber, je me suis pris la porte. Pour ça il les méprisait, de plus celui qu’il voyait à présent ne lui inspirait pas franchement confiance, au contraire il aurait plus tendance à éviter les gens comme celui là. Dommage en un certain sens puisque Joy était un abonné des infirmeries, notamment pour de nombreuses conneries.
« Hum. Déshabillez-vous. Pas de gêne entre nous. »
Joy le regarda un peu septique, oui mais bon, il ne pouvait pas vraiment faire autrement, il était bien obliger d’écouter et d’appliquer s’il souhaitait rester ici. Il commença donc par enlever sa veste un peu miteuse depuis le temps, son tee-shirt Bullet For My Valentine, ainsi que son slim gris délavé. Il n’était pas très grand peut-être un mètre soixante-dix, mais pas plus pas bien gros non plus une cinquantaines de kilos à tout péter. Sur son dos se dessinait en blanc, violet et légèrement marron d’anciennes cicatrises, malheureusement pour lui son dos n’était pas le seul endroit a en avoir hériter. Il en avait aussi sur le ventre, les bras et de nombreux hématomes sur les jambes. Son visage et ses mains avaient été les seules parties à être à peut près sauves.
« Voici un cas intéressant, tiens, tiens ! Ouvrez la bouche. Tendez votre bras. Respirez. Ne respirez plus. ... ... Vous ne tiendrez pas longtemps en apnée. »
Il écouta les commentaire du doc’ sans rien dire, il faisait se qu’on lui disait mais pas plus. Il porta l’ongle de son pouce à la bouche, signe d’une légère nervosité, si elle était plus importante ça fait longtemps qu’il aurait sortit une cigarette et tant pis pour les bâtiments. D’un petit geste de la tête il replaça sa mèche sur le coter histoire de libérer ses yeux un bref instant avant que celle-ci ne retombe. Il avait des yeux gris, même s’ils se teintaient parfois d’une légère teinte de jaune, entourer par un trait de crayon noir avec ses cernes ça renforçait son air maladif du à un teint un peu trop pâle. On ne pouvait pas dire qu’il était beau, ni même mignon, de toutes manières se n’est pas franchement ce qu’il cherchait…
Il soupira doucement, bien sûr qu’il ne tiendrait pas en apnée, mais où était l’intérêt de la chose ?
« J'ai d'autres chats à fouetter, hors de ma vue. Si vous vous sentez mal, allez voir mon assistant, il est beau et très serviable, en gros il aime bosser. En revanche, si vous avez une maladie rare et que vous êtes en train de vivre vos dernières heures, je me ferais un plaisir de vous recevoir. »
Ce fut un plaisir, vraiment, sans ironie… Non franchement pourquoi mettre se truc aussi tôt ? Enfin, cela importait assez peu à Joy, puisqu’il avait beaucoup plus tendance à se soigner seul, une fois qu’avec Doll ils auraient voler les médicaments bien sûr. Et ce même en cas de maladie mortelle, il avait tellement peu confiance dans les médecins qu’il préférait encore mourir dans son coin bien tranquillement. HJ Prénom: Je ne sais plus.
Pseudo: Marynn.
Âge : 17ans.
Où as-tu connu WF? Par une personne, qui ne sais pas que je suis ici, mais qui me connait bien (tout au moins elle a grand intérêt…)
Autre chose ? Nani.
Dernière édition par Joy Fairy. le Mer 15 Juil - 1:37, édité 2 fois | |
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