Narcisse A. Contantine, dit Nay ~~~

DJ
____________________________________


With Sou « Lolita23q »
____________________________________
Nom & Prénom :
Amadera [A.] Constantine, Narcisse - Ayame
dit Nay, mais uniquement par son peu d’amis véritables
[Né Levine, Daniel]

Âge :
18 ans, né le 01.02.1990

Elève, Acteur ou Psy :
Elève.
____________________________________
Physique :
Narcisse n'est guère bien grand, sa taille ne dépasse pas les 1m65, Il n'est pas bien gros non plus, il atteind avec peine 44kg tout mouillé. Il n'est donc, par conséquent, pas très musclé. C'est un jeune garçon assez frêle qui donne l'impression de n'être qu'un enfant à protéger. Il a les traits du visage typé asiatique, c'est à dire des traits fin, lui laissant un visage pour le moins enfantin, des yeux legèrement en amande. ce garçon a une beauté naturel qu'il connait et qu'il entretien. Narcisse n'as pas de style vestimentaire très spécial, il choisit ce qu'il lui passe sous la main. Mais, quoi qu'il choisisse, il a toujours cette classe bien à lui. Il passe énormément de temps dans la salle de bain. Pire qu'une fille disait Helly.

Histoire :
« Non mais tu te fous de moi ?! T’aurais pas pu faire attention ?! »
… je vous rassure, ce n’était pas mon père qui parlait ainsi à ma mère. Non, non. Mon père, lui, il n’a jamais su qu’il était justement père. En fait, ma mère n’a jamais su qui c’était. Elle n’en a jamais eu la moindre idée, si vous voulez tout savoir. Eh, on vous demande de retenir la tête de tous les clients que vous voyez en une journée, à vous ? Non, eh bah à ma mère non plus. Hein ? Ah, oui, parfaitement, je suis le type même qu’on peut appeler « fils de p*te » sans avoir peur de se tromper ou de me faire du mal. Le mec qui s’est adressé comme ça à ma mère, c’était son patron, son proxénète si vous préférez. Bah oui, ma mère, elle faisait le trottoir, elle avait que ça dans sa vie, elle avait pas de diplôme. Tout le monde n’est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche. Moi, je suis né dans un immeuble pourri neuf mois après que ma mère se soit faite tabassée par son patron parce qu’elle allait justement les perdre, ces neuf mois, parce qu’il n’y aurait pas un seul client qui voudrait d’elle. Mais entre nous, tout ça, je m’en rendais pas compte. Je suis né à Paris. Mais pas sous le nom de Narcisse Amadera Constantine, simplement sous le nom de Daniel Levine. En parlant de ça, c’est à ma naissance donc, le 1er février 1990, que ma mère s’est dit dans un accès subit d’intelligence : « Oh, son père doit être asiatique ». Sans rire, comme si ça ne se voyait pas.
Donc voilà. Je suis né le 1er février 1990 à 19h21 dans une vieille cage d’escalier non loin de la place Pigalle à Paris, en tant que Daniel « Dan » Levine. Ma mère trouvait ça trop style. M’appeler Dan ou Danny. Sans vouloir être méchant, ma mère était carrément limitée. Elle a pas eut une vie facile, c’est vrai, mais sérieusement, elle n’a jamais rien fait pour en sortir. Ou simplement, elle n’en avait pas les capacités intellectuelles. Voilà, le seul truc que je sais de mon père, c’était qu’il était moins débile qu’elle, parce qu’autrement je le serais tout autant.
« J’vous l’jure !! J’vais tout arrêter, me prenez pas mon bébé !! »
J’étais plus un bébé. J’avais six ans, j’avais grandi sans la moindre éducation, avec une mère qui n’était pas là, et qui me laissait aux seuls soins de son proxénète, qui entre nous soit dit, n’appréciait pas vraiment ce gamin qu’il devait garder dans ses pattes pour que sa meilleure « fille » aille remplir son porte-monnaie. Je ne savais même pas ce que c’était, l’école, quand quelqu’un me demandait : « Mais elle est ou, ta maman ? Et ton papa ? », je répondais simplement que Maman, que j’appelais Mam, elle était avec des messieurs et que Papa bah je savais pas ce que c’était. Et là bizarrement, les gens changeaient d’attitude. Du petit garçon trop mignon, je passais au fils de putain qui finirait sans doute à vendre de la drogue pour aider maman, plus tard. Et pour tout vous dire, cela aurait bien pu être le cas. Sauf qu’un jour, Rose, je l’appelais comme ça parce qu’elle habitait l’appartement au-dessus du notre et que dès que j’allais me réfugier chez elle, il y avait toujours un gros bouquet de roses sur sa table (mais je crois que son vrai nom, c’était Rebecca, c’est beaucoup moins beau), a appelé les services sociaux. Elle m’a dit que c’était elle, mais moi je ne comprenais pas vraiment ce que c’était. Elle m’a dit qu’elle m’aimait et que c’était pour mon bien qu’elle le faisait, parce que je valais mieux que de rester avec ma mère. Alors ce jour-là, j’avais six ans, et on m’emmenait loin de ma mère pour me placer en foyer. Depuis, je n’ai eu aucune nouvelle ni de ma mère, qui a finalement abandonné l’idée de me récupérer, ni même de Rose. Mais elle, je lui en serais reconnaissant pour toujours. Rose m’a sauvé.
« Oh, ce qu’il est mignon, ce jeune homme ! Et comment il s’appelle ? »
Danny. Tout le monde m’appelait Danny. Sauf que ce jour-là, ce fut le dernier jour ou j’ai pu dire que je m’appelais Danny. La dame qui s’extasiait sur moi, c’était une dame très riche, Namiko Amadera Constantine, elle ne pouvait pas avoir d’enfant avec son mari et du coup, ils voulaient adopter. Alors je vous passe les détails. Namiko a flashé sur moi, son mari, Daniel tiens donc, a finalement craqué. Sauf qu’ils voulaient changer mon prénom. Daniel, il y en avait déjà un, et soi-disant, cela ne m’allait pas tellement. Alors bon, ils ont voulu m’appeler Narcisse. Sérieusement, c’est carrément plus beau. C’est plus cool pour moi, et je suis vraiment fier de ce prénom d’ailleurs. Il fait vieillot mais c’est ce qui me plait. Bref, à sept ans, je me suis retrouvé dans une nouvelle famille, et autant vous dire que cela m’a changé du tout au tout. Après mon adoption, j’ai découvert ce qu’était l’école, l’éducation, les grandes maisons, les vacances loin, les câlins de Maman, et surtout, j’ai su ce qu’était un Papa. Au fond, c’était comme le proxénète de mon ancienne Maman, sauf que lui, il m’aimait et il m’appelait « Mon fils », « Fiston », « Chéri ». J’étais premier à l’école et ils étaient fiers de moi. J’avais enfin une chance de me débarrasser d’un patrimoine génétique peu glorieux et de devenir quelqu’un, ce dont je n’avais aucune chance, à l’époque ou je n’étais qu’un fils de prostitué. J’étais désormais un fils de riche.
« Ecoutes, Narcisse… il va falloir que ça change. »
J’avais pas été cool, j’avoue. J’avais fait cramé la queue du chat, et c’était pas la première fois. En même temps, j’avais quatorze ans et j’étais un petit con qui avait oublié d’où il venait. J’avais oublié que je venais de la rue et que sans mes parents, j’y serais encore. Mais comme tous les sales gosses qui commencent à se prendre pour des grands, j’étais insolent, parfois même violent. Je ne me rendais pas bien compte de la chance que j’avais, ne serait-ce que d’avoir une famille riche et de pouvoir avoir tout ce que je voulais. Je leur demandais toujours, à quoi ça servait qu’ils m’aient adopté si c’était pour ne pas m’aimer. Mais c’était faux. Mes parents m’aimaient, seulement j’étais tellement aveuglé par mon adolescence et mon envie de liberté que je n’étais pas fichu de m’en rendre compte. Je leur ai fait du mal, et je le savais. J’avais beau être premier de la classe comme toujours, les professeurs disaient sans cesse que je ne fichais rien, qu’il fallait que je me reprenne, que j’étais trop insolent et que je me croyais tout permis. Et moi, je disais qu’ils racontaient n’importe quoi, que c’était pas vrai et que de toutes façons, j’en avais marre. A quatorze ans, je m’imaginais pouvoir dire que j’en avais marre. Alors qu’au fond, en dehors de mes six années de rue en tant que fils de prostitué, je n’avais rien vécu et que de toutes évidences, j’avais eu une chance de cocu en étant adopté par la famille Constantine. Mais qu’est-ce que vous voulez, c’était comme ça. Cette année-là, mes parents sont morts. Accident de voiture. Les services sociaux m’ont récupéré. J’étais déboussolé, et je ne faisais que des conneries, j’ai tabassé un de mes camarades. Ils m’ont gardé jusqu’à mes dix-sept ans, avant qu’ils ne commencent à en avoir plus que ras-le-bol.
« Moi c’est Kuninobu Asaki. Et lui c’est Chigusa Hellbell. Et toi ? »
C’était pas vrai, c’était pas Chigusa Hellbell, mais c’était un diminutif. Ce jour-là, je suis arrivé au Heaven Institute, là ou on envoie tous les déchets de la société, là ou j’avais vraiment ma place. J’étais un pur salaud, je faisais n’importe quoi, j’aimais personne. Mais Kuninobu Asaki, Nobu ou le Petit, il est venu vers moi, avec son pote Hellbell Marvally, et tout de suite, je les ai aimés. Depuis, nous sommes devenus inséparables. Nobu était le plus jeune, mais le plus ancien à être dans l’établissement, il nous a tout appris, c’était un peu un grand frère et à la fois un petit frère pour moi tout comme pour Helly. Je me sentais un peu à part, j’avais l’histoire la moins horrible des trois, j’avais l’impression de n’avoir rien vécu, parce que Nobu n’avait jamais connu sa mère et que son père le battait et l’avait violé, parce que les parents de Helly avait été assassinés par le mec qui l’avait forcé à se prostituer, et j’en passe, alors moi finalement, je m’en sortais à bon compte et je me sentais carrément idiot par rapport à eux. Mais Nobu, lui, il m’a dit que cela importait peu, que ce qu’ils voyaient en moi, c’était que malgré tout j’étais quelqu’un de génial. Grace à lui et à Helly, j’ai repris confiance en moi, j’ai grandi, je me suis rendu compte de ce que pouvais être la vie, j’ai même écrit au reste de ma famille d’adoption pour m’excuser d’avoir été si bête. Je n’ai jamais eu de nouvelles, mais au moins, je l’ai fait. Et Nobu, Helly et moi, on était toujours ensembles, et je les aimais plus que je n’avais jamais aimé personne, et encore, les mots sont trop faibles pour exprimer ce que je ressentais et ressens toujours pour eux.
« Nay… Y a du sang… Et Nobu… il est plus là… »
J’avais jamais vu Helly dans un état pareil, désemparé, en pleurs. Lui qui était dans la même chambre que Nobu, il avait retrouvé ce matin-là le lit vide, avec pour seul trace de notre ami du sang sur les draps. Ce n’était pas le premier qui disparaissait dans l’institut, mais on pensait être à l’abri de tout ça. Qu’ils étaient partis d’eux-mêmes. Mais non. Nobu avait bel et bien disparu, peut-être même est-il mort à l’heure ou je vous parle. Mais Helly et moi, on veut croire encore qu’il reviendrait et qu’il nous sortira son habituel « Hahaa… Sumimasen ». Je sais que Helly se sent mal, et moi aussi, mais je veux être là pour lui. Helly, c’est mon grand frère même s’il a deux mois de moins. On retrouvera Nobu. Helly et moi, on retrouvera Nobu, on saura qui l’a enlevé, on saura ce qu’il se passe, et on n’abandonnera pas tant qu’on aura pas soit une preuve formelle qu’il est mort, soit notre ami devant nous. Et autant vous dire qu’il y a intérêt à ce que ce soit la deuxième solution. Nobu est immortel. Un mec de notre groupe, ça peut pas mourir.
« Helly, 'Les laisse pas, 'les laisse pas me faire ça ... Helly !!!! »
Ces hommes me traînaient par les bras. Je voyais le visage d'helly se rétréssir petit à petit. Tous ça, ce n'est pas de ma faute. Voila deux mois que Nobu avait disparu. Il a été retrouvé il y a cinq jours. le corps déposé derrière l'institut. Il ne portait qu'un T-shirt, avait des cheveux dans sa mains et des tas de coups sur le corps. Helly et moi étions horrifiées. Mais il y avait un hic, ce T-shirt c'est le mien, même couvert de sang et déchiré je le reconnaissait, ça ne m'as pas étonné. Nobu m'as souvent emprunté des vêtements. Mais ces cheveux, dans sa mains, eux-aussi étaient les miens. Ces c*****d de soi-disant inspecteur en ont déduit ma soi-disant culpabilité. Ces hommes m'enmenent dans un autre cnetre. Pire que celui-ci, c'est l'Help Institute. Helly ne dit rien .. Ils les laisse m'enmener. Helly ne doit pas croire de tels choses, je n'aurais jamais osé touché à un seul des cheveux de Nobu, C'est un complot.

SUITE

Caractère, Manies ... :
Oulà, Narcisse… oui, déjà rien que le prénom, ce n’est pas une mince affaire, n’est-ce pas ? Je trouve aussi. Narcisse donc, il est très difficile d’en faire le portrait moral. Déjà que, lorsqu’on le côtoie, il est plutôt compliqué de savoir par quel bout le prendre, alors imaginez un peu : pour le décrire… enfin, nous allons nous débrouiller, n’est-ce pas ? Nous sommes là pour ça.
Avant toute chose, Narcisse est quelqu’un de… totalement cinglé. Oui, d’accord, ça se voit, mais comme on nous dit souvent qu’il ne faut pas se fier aux apparences, autant le préciser, non ? Et tiens, d’ailleurs, approfondissons le sujet. En quoi Narcisse est-il cinglé ? Vous avez deux heures pour la dissertation. Non, deux heures c’est trop, alors faisons dans les grandes lignes, voulez-vous ? Bien. Narcisse n’a peur de rien (en théorie), et n’hésite pas à le montrer. Tout défi est pour lui une soi-disant partie de rigolade, un truc « trop simple » que, si on l’écoutait, il serait capable de faire les yeux bandés et la tête à l’envers. Bon, d’accord, cela vient peut-être de son prénom, mais c’est encore autre chose. Les défis donc, Narcisse les accepte tous, sans exception, de « t’es pas cap de lancer ton chewing-gum dans les cheveux de la prof » à « chiche de sauter du balcon de l’aile ouest sans protection ». D’ailleurs, ces exemples ont déjà été réalisés, mais pour le deuxième, Narcisse n’en est pas sorti indemne…et oui, l’homme de fer n’existe pas ! Ou si c’est le cas, ce n’est pas lui.
Sinon, il a une façon bien à lui de réagir. En fait, on ne sait jamais vraiment s’il va vous cracher au visage, vous prendre dans ses bras, vous ignorer, ou vous casser la gueule. Bah oui, il a ses humeurs et bizarrement, quand on le voit, impossible de deviner dans quelle passe il est, bonne ou mauvaise, alors vous avez une chance sur deux de vous en prendre plein la tête ! Enfin quand même, d’ordre général, Narcisse est plutôt du genre à être d’une bonne humeur désarmante mais tellement appréciable, en clair, vous ne courrez que peu de risques à vous aventurer par le plus grand des hasards en une discussion avec lui.
De plus, il a un peu tendance à être du genre grand gamin, à sautiller partout quand il est content, et surtout, c’est un champion surdiplômé de… la grimace. Bon, il pourrait arriver que quelqu’un le détrône, mais sans doute pas dans sa spécialité, à savoir tordre sa bouche dans tous les sens, ce qui entre nous soit dit à des vertus très énervantes à la longue. Mais bon, qu’est-ce que vous voulez, à ce niveau là, Narcisse est resté au stade bébé morveux… tiens, d’ailleurs, en parlant de ça, Narcisse est l’archétype même du morveux ! Grand casse-cou devant l’éternel, arrogant presque impoli, et surtout, jeune homme voulant absolument avoir raison, même quand il a tord… et oui, il est comme ça Narcisse, et ne vous plaignez pas, cela lui ferait sans doute bien trop plaisir : il aime savoir qu’il vous est supérieur.
Passons maintenant, que vous le vouliez ou non… à la facette de la personnalité de Narcisse fort bien définie par son prénom. Narcissique. En onze lettres, quoique parfois, il dépasse tellement les bornes du narcissismes qu’on lui en mettrait douze, puisqu’il l’est comme dix. Il veut toujours être le meilleur, et surtout : qu’on le reconnaisse. Avec lui, c’est « moi, moi et…MOI » et c’est tout. Personne ne doit lui voler la vedette, sinon il se met à bouder comme un gamin, ou alors, il s’énerve, et dans ce cas, mieux vaut éviter tout de même d’en être la cause, puisque le jeune homme semble avoir de la génétique d’ouragan dans l’ADN. Pas violent, non, du tout… dévastateur, oui ! Mais c’est encore une autre histoire, à vous de voir si vous voulez ou non tester la colère de Narcisse ^^’ Mais pour en revenir au coté narcissique, le jeune homme a tendance à toujours vouloir se mettre en avant, et ce même aux dépends des autres… sauf de celui dont il a peur.
Et oui, dans la pratique, Narcisse n’a pas réellement peur de rien… il a peur de son meilleur ami. Dommage pour lui, puisque ce dernier semble avoir des relents de psychopathe, mais ce n’est pas de lui que nous parlons, simplement de la peur qu’éprouve Narcisse à son égard, la peur sans doute de se retrouver confronter à lui pour une véritable rixe : il aurais bien trop peur de perdre et de se couvrir de ridicule. Autrement, dans le genre « J’passe des heures dans la salle de bain et j’te demande pas ton avis », Narcisse est aussi très fort. Eh, qu’est-ce que vous croyez, un look si parfait et si réglé au millimètre, ça se travaille ! Et non, ça ne vient pas tout seul, désolé pour les flemmards, il va falloir bosser !
____________________________________
Crime commis :
Aucun, mais Accusé de Viol et Coups et Belessures ayant entraîner la mort, sur son meilleur ami

<3 et </3 :
Il aime lui-même, Parler de lui, à lui, à n'importe qui, à n'importe quoi, les garçons.
Il n'aime pas que l'on lui coup la parole, avoir tord, l'autorité.

Autres détails :
C'est un petit merdeux qui ne bois pas, ne fume pas, ne se drogue pas, ne se prostitue pas.
____________________________________
HJ

Prénom:
Marine -_-"
Pseudo:
Mae
Âge :
14 ans
Où as-tu connu WF?
J'étais sur aceboard ...
Autre chose?
Le personnage a été crée dans son intégralité * Hormis le dernier paragraphe de L'histoire ainsi que le Physique * par Mlle Kuro * Contactez là ici : icevampire@hotmail.fr *