evannah;; like a bird -OK

FICHE DE PRESENTATION SPECIALE WF
inspiré du RPG On The Road

FICHE POUR ELEVE

DJ

Code validé par Anton Meeters

# Rapport de Police #

BROWN Evannah 18 ans Américaine Meurtre.

# Entretien avec un psychologue du Help Institute #

Vous venez d'apprendre que vous évitez la prison et qu'on vous envoie dans un centre pour jeunes délinquants. Avant d'entrer dans le Help Institute vous devez passer un entretien avec un psychologue. C'est donc sous la forme d'un entretien que vous allez présenter l'histoire, la famille et le caractère de votre personnage.

Vous connaissez ceux qui font partie de l’élite ? Ceux connu de tous, que tout le monde connait grâce à leur papa et leur maman ? Et bien Brown y fait partie. C’est avec une cuillère en or dans la bouche que la jeune femme est née. Son père, le grand Patrick Brown, un français est réputé pour être un présentateur de télévision et un peintre, d’ailleurs il a quarante deux ans. Sa mère, Vicky Brown, est une ancienne mannequin et à présent une styliste. C’est assez cool d’ailleurs, parce que lorsque Evannah était petite, sa mère créait elle-même les vêtements de sa fille, elle était unique. Et puis, étant fille unique ses parents lui offraient tout se quelle voulait. Elle n’était pas si capricieuse que ça, ses parents l’avaient bien éduqué, enfin ‘ses parents’ c’était une expression, c’était plutôt ses nurses mais bon. Elle voulait juste un petit chaton, parce que la jeune femme adore les animaux, et surtout les chats. Son premier chaton fut son meilleure amie. Elle ne parlait pas beaucoup à ses parents et elle n’allait pas l’école - à domicile c’est pratique -. La seule chose qu’elle regrettait était sûrement d’être une insociable. Pour elle, l’argent et la gloire lui suffisait. Mais il lui manquait une meilleure amie.

Lorsqu’elle fut atteint d’une quinzaine d’année, Evannah eu la folle idée d’aller à l’école, ‘folle’ parce qu’elle se faisait coursé par des fans, soit disant qu’ils idolaient ses parents. Elle n’est même pas resté une semaine, à croire qu’elle n’allait jamais avoir d’ami hormis Muffin son chat.

Mais vivre seule, c’est trop ennuyant. Elle voulu réessayer deux ans après, en allant au lycée. Par contre, la chance n’était toujours pas de son côté. Elle fut harcelé, par un malade mental qui lui envoyait des lettres en disant : je te surveille. Ou autre. Un jour, il lui écrit une lettre inquiétante : « rendez-vous demain au parking ». Trop curieuse, elle y alla, pour demander à celui-ci d’arrêter de l’harceler. Mais prise au dépourvu, le malade avait un pistolet pour la tuer. Prise de panique, elle le poussa, prit le pistolet et tira. Sa servait de prendre des leçons de défense, au lieu de l’art plastique. Par contre, elle fut jugé et fut placé dans un institut. Jugé comme folle. Le père du mort avait bien menti. Elle prit sa guitare, et partie. Ses parents furent de leur côté - par chance - et lui promirent de l’aider à sortir de là. Pour qu’elle puisse hériter de la boite de sa mère.

« Allongez-vous, je vous en prie. Alors... Comment allez-vous? »

Comment vous osez me poser cette question alors que je suis dans… une merde ?! Je vais bien… sérieusement. Je m’attendais à pire, même si cet endroit ces l’enfer. J’ai évité la prison c’est déjà ça. C’est assez frustrant de savoir qu’on est classé dans les fous juste pour un accident. Et puis toute ses salles là. Mais je vais bien, je positive trop je crois.

« Ca remonte à votre enfance ? »

Non pas du tout. J’ai eu une enfance heureuse… et seule. Mes parents n’étaient jamais à la maison, je le vivais bien jusqu’au jour où j’en ai eu mare et j’ai voulu aller à l’école. J’suis con c’est pas possible. Si j’aurais continué mes cours d’art, d’art martiaux et tout le reste, ce malade ne m’aurait pas menacé et je l’aurais pas tué.

« Et d'après vous, pourquoi êtes-vous ici ? »

Parce que nous vivons dans le mensonge et l’hypocrisie tout simplement.


# Bagarre dans le Help Institute #

Vous venez tout juste de faire vos tout premiers pas dans HI, et vous êtes déjà confronté à une bagarre entre deux élèves. Comment réagissez vous ? Vous y prenez part, vous les stopper, vous passez votre chemin ?

Je ne m’en occupe pas. C’est leur problème après tout. Je ne connais personne, j’ai toujours été seule alors je ne vois pas pourquoi je voudrais avoir des amis maintenant. Ce sont des garçons, je suis une fille, ne soyons pas fou, je n’arriverais jamais à les séparer, même si j’en ai une folle envie à l’instant même. Je les regarde, je soupire et passe une main dans mes cheveux. Je sais que quelqu’un d’autre va intervenir, et je n’ai pas envie de me retrouver avec un œil au beurre noir. Ils commencent à s’insulter, je n’aime pas ça. Je ne suis pas un monstre, j’ai envie de le prouver à tout le monde. La grande Evannah n’est pas un monstre. Quand j’y repense, les paparazzis ont du se régaler avec cette nouvelle : Evannah est meurtrière dans un coin pour fou.. Quand je pense à ça, j’ai même pas envie de sortir d’ici. Il y a un banc pas très loin, je m’y assois et continue à les regarder. Ca me ronge à l’intérieur mais hors de question de bouger d’ici. Pendant cet instant je dois garder ma fierté et les ignorer, même si ils parlent trop fort.

Finalement, je me lève du banc et me dirige en leur direction. « Je suis con, je suis con. » je ne cesse de me répéter cette phrase pendant que mes jambes avance toute seule. Mon cœur bat la chamade, si ils me tapent alors là, ils sont morts. Je fais des art martiaux depuis toute petite, et tout le monde sait qu’il ne faut pas m’énerver, alors ils n’ont pas intérêt à me toucher un poil. J’arrive enfin près d’eux et j’ajoute.

« ARRETEZ ! »

Ils arrêtent et me dévisage comme des pervers aux idées horrible. Une boule sa coince dans ma gorge et j’ai du mal à avaler ma salive. Ils sont prèts à se moquer de moi. C’est vrai, vu mon petit gabarie comparé à eux, j’ai l’air d’une parfaite idiote.

« S’il vous plait, vous vous rendez pas compte là, vous êtes des idiots.
- C’est toi qui nous dit ça alors que tu te la ramène ?
- Ouais, on t’as rien demandé… »

Je pousse un soupire et retourne m’assoir. Au moins j’ai essayé.

« VAS TE FAIRE F***** ! Je ne veux pas de tes excuses, je veux ta PEAU ! »

« Bonjour la politesse » avais-je pensé sur mon banc. Même si je voulais les résonner, ils n’allaient pas m’écouter.

« Hey TOI ! Qu'est-ce tu fous ici ? Mêle-toi de tes affaires ! »

Je fais les gros yeux et baisse la tête avant de tourner les talons et d’ajouter.

« Ferme là. »


# Auscultation du Docteur Meeters #

J’avais la peur au ventre. Surtout qu’il criait famine. Je portais un tee-shirt blanc au motif rouge avec un mini short en jeans légèrement déchiré - le style, n’essayez pas de comprendre -. Le docteur me demande de m’installer sur la table d’auscultation et me dévisage. Je n’aime pas ça, réellement. Je pousse un soupire et me mord la lèvre inférieur, un tic que j’ai depuis pas mal de temps à présent. Il me demande si j’ai eu des allergies ici. J’affirme que non, que tout va bien. Je n’ai pas envie d’aller dans les détails, j’ai juste envie de partir et de manger. Il hoche la tête et ajoute.

« Vous avez des troubles du sommeil ? Parce que vous avez des cernes mademoiselle.
- [g]Non je dors bien, c’est juste que je suis fatigué.[/g]
- Je vais vous donner des vitamines alors. »

J’arque un sourcil et pousse un soupire. A part la fatigue tout va bien. La séance est longue, et je ne pense qu’a sortir d’ici. Lorsque se fut fait, je salut le docteur d’un signe de tête et va à la cantine pour petit déjeuner.

« Hum. Déshabillez-vous. Pas de gêne entre nous. »

J’arquais un sourcil à nouveau et retirais mon tee-shirt. Je me retrouvais un soutien gorge avec mon mini short. C’était comme ci j’étais en maillot de bain après tout. Mais le bas par contre, je préférais le garder.

« Voici un cas intéressant, tiens, tiens ! Ouvrez la bouche. Tendez votre bras. Respirez. Ne respirez plus. ... ... Vous ne tiendrez pas longtemps en apnée. »

« Vous voulez pas que je danse non plus ? »

Affirmais-je avant de le regarder dans les yeux

« J'ai d'autres chats à fouetter, hors de ma vue. Si vous vous sentez mal, allez voir mon assistant, il est beau et très serviable, en gros il aime bosser. En revanche, si vous avez une maladie rare et que vous êtes en train de vivre vos dernières heures, je me ferais un plaisir de vous recevoir. »

« Pas de problème, mais je préfère encore mourir que de revenir vous voir… »

Pas de salut, je quitte la salle sans même me retourner.


HJ

Prénom: Inès
Pseudo: BROWNiE
Âge :[/b 15

[b]Où as-tu connu WF? y a longtemps
Autre chose? no